Histoire du projet Qosico : d’une idée débile à un vrai site

Au début, juste une idée “et si…”

Comme beaucoup de projets un peu barrés, Qosico est né d'une idée qui ressemble plus à une blague qu'à un business plan :“Ce serait incroyable d'avoir un site qui te donne des stats inutiles sur ta vie : combien de temps tu as passé à scroller, à manger du fast-food, à dormir avec ton téléphone à la main…”

L'idée traîne dans un coin de la tête, puis revient plusieurs fois. Et à un moment, au lieu de juste en rigoler, tu décides de voir si tu peux en faire un vrai truc. Pas une app ultra compliquée, mais un site simple, propre, avec un questionnaire + une IA qui transforme les réponses en stats et en histoires.

Entre sérieux et débile : trouver le ton Qosico

Rapidement, une chose devient claire : Qosico ne doit pas être un outil sérieux. Il ne s'agit pas d'un coach de vie, ni d'une app de santé, ni d'un truc de productivité. La promesse, c'est justement d'assumer que ce sont des statistiques inutiles.

Le ton se définit comme ça :

• auto-dérision plutôt que coaching
• réalité un peu exagérée, mais basée sur tes réponses
• une IA qui parle comme un pote qui te connaît un peu trop bien

Qosico devient alors un miroir statistique de ta vie : pas ultra précis, parfois un peu dramatique, mais toujours du côté du fun.

La brique centrale : le questionnaire

Pour générer des stats de vie, il faut des données. Pas besoin de ton nom, de ton mail ou de ton IBAN : Qosico s'intéresse à d'autres choses :

• tes heures de sommeil, de travail, d'écran, de sport
• tes verres d'alcool, cafés, fast-food, boissons sucrées
• tes dramas : disputes, crises existentielles, vie sociale
• tes stats “off” : scroll, rires, ptdr, pensées inutiles
• et un peu de vie intime, en option, toujours anonyme

Le questionnaire a été construit petit à petit : ajout d'une section, test, ajustement, suppression de questions trop lourdes, ajout de questions plus fun. L'objectif : assez de données pour générer des stats marrantes, mais pas trop pour ne pas décourager les gens.

Brancher une IA derrière les chiffres

Une fois les données récupérées, il faut les transformer en quelque chose qui donne envie de lire. C'est là que l'IA entre en jeu.

Qosico fait d'abord des calculs “basiques” :

• projections sur plusieurs années
• conversions en métriques absurdes (tours du monde, baignoires, jours assis…)
• cumul des heures de scroll, de sommeil, de fast-food
• indices comme le “chaos”, le “rythme de vie”, etc.

Ensuite, l'IA prend ces chiffres et écrit :

• un titre récapitulatif de ton profil
• un sous-titre un peu piquant
• des stats détaillées, expliquées en français simple
• une comparaison avec une “personne lambda”
• une petite histoire générée à partir de ta vie statistique

C'est ce mélange de calcul + IA qui donne l'identité de Qosico : des chiffres sérieux emballés dans une narration pas sérieuse du tout.

Les coulisses : admin, charts, SEO et compagnie

Derrière la partie visible, Qosico a aussi toute une partie “coulisses” :

• une page admin protégée pour voir les réponses (anonymes)
• des graphiques pour suivre l'évolution des stats globales
• une structure SEO optimisée : métadonnées, JSON-LD, sitemap, robots.txt, pages FAQ, exemples, blog…
• des événements GA4 pour comprendre comment les utilisateurs interagissent avec le questionnaire

Le but n'est pas juste d'avoir une idée sympa, mais d'en faire un site qui tient la route, qui peut grandir, et qui peut un jour accueillir plus de fonctionnalités (stats partagées, comptes, comparaisons entre amis, etc.).

Et la suite pour Qosico ?

Qosico, pour l'instant, c'est un générateur de statistiques inutiles avec un questionnaire unique et une IA qui te renvoie un portrait chiffré de ta vie.

Mais derrière, il y a plein de pistes possibles :

• ajouter de nouveaux types de stats (amour, travail, argent, jeux vidéo…)
• permettre de sauvegarder son résultat ou de comparer plusieurs versions dans le temps
• créer un mode “soirée entre potes” où tout le monde génère ses stats et on compare
• pousser encore plus le côté storytelling de l'IA

Qosico restera probablement toujours un peu débile, mais c'est ce qui fait son charme. L'important, c'est que tu puisses continuer à te dire : “C'est complètement inutile… donc indispensable.”